L'insertion professionnelle des diplômés de l'enseignement supérieur Culture

L'enseignement supérieur relevant du ministère de la Culture et de la Communication compte une centaine d'établissements dispensant des formations dans les domaines de l'architecture, de l'art, du spectacle, du patrimoine et du cinéma. Ces établissements supérieurs délivre...

وصف كامل

محفوظ في:
التفاصيل البيبلوغرافية
المؤلف الرئيسي: Anne Darras (auth)
التنسيق: فصل الكتاب
منشور في: Département des études, de la prospective et des statistiques
الموضوعات:
الوصول للمادة أونلاين:Get Fullteks
DOAB: description of the publication
الوسوم: إضافة وسم
لا توجد وسوم, كن أول من يضع وسما على هذه التسجيلة!
LEADER 03415naaaa2200253uu 4500
001 doab_20_500_12854_50330
005 20210211
020 |a 9782111399396 
041 0 |a French 
042 |a dc 
100 1 |a Anne Darras  |4 auth 
245 1 0 |a L'insertion professionnelle des diplômés de l'enseignement supérieur Culture 
260 |b Département des études, de la prospective et des statistiques 
506 0 |a Open Access  |2 star  |f Unrestricted online access 
520 |a L'enseignement supérieur relevant du ministère de la Culture et de la Communication compte une centaine d'établissements dispensant des formations dans les domaines de l'architecture, de l'art, du spectacle, du patrimoine et du cinéma. Ces établissements supérieurs délivrent 44 diplômes de fin de cycle. Parmi les 5 500 étudiants sortants qui ont obtenu l'un de ces diplômes en 2011, l'enquête concerne ceux qui sont entrés dans la vie active. En 2014, trois ans après leur entrée sur le marché du travail, ils sont 86 % à travailler et huit diplômés sur dix exercent une activité dans le champ de leur diplôme. Le taux d'insertion diffère toutefois selon les filières : si 94 % des diplômés du spectacle sont actifs, ils sont 85 % dans le secteur de l'architecture et 82 % pour les diplômés des arts plastiques. De même, les conditions d'emploi ne sont pas identiques selon les filières. Trois ans après l'obtention de leur diplôme, les jeunes architectes exercent des emplois stables (71 % des actifs sont salariés), bien rémunérés (en moyenne 23 900 euros net annuels en 2014) et centrés sur leur cœur de métier. Les diplômés des arts plastiques, en revanche, ont des formes d'emploi plus précaires. Ils sont un sur deux à être salarié dont près de la moitié (46 %) sous contrat à durée déterminée. Les diplômés de la filière design et graphisme, les mieux rémunérés, perçoivent en moyenne 20 000 euros annuels nets en 2014, tandis que les diplômés en option art déclarent des revenus beaucoup plus faibles (12 000 euros annuels en moyenne). Dans le spectacle vivant, les conditions d'emploi varient d'une discipline à l'autre : si les diplômés de la filière musicale sont très majoritairement salariés du secteur public (69 %) et ne comptent que 16 % de bénéficiaires du régime de l'intermittence, ils sont 88 % à bénéficier de ce régime spécifique de protection sociale parmi les diplômés des arts du théâtre, du cirque et des marionnettes. Dans la filière du spectacle, les rémunérations moyennes sont plus faibles (17 200 euros nets annuels). Enfin, quelles que soient la filière de formation et l'activité exercée trois ans après l'obtention du diplôme, les diplômés de l'enseignement supérieur Culture sont 86 % à s'épanouir dans leur activité professionnelle. 
540 |a Creative Commons  |f https://creativecommons.org/licenses/by-nc/4.0/  |2 cc  |4 https://creativecommons.org/licenses/by-nc/4.0/ 
546 |a French 
653 |a spectacle 
653 |a arts plastiques 
653 |a formation 
653 |a théâtre 
653 |a architecture 
856 4 0 |a www.oapen.org  |u http://books.openedition.org/deps/1183  |7 0  |z Get Fullteks 
856 4 0 |a www.oapen.org  |u https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/50330  |7 0  |z DOAB: description of the publication